E.

J’ai écouté ton conseil.
Je revois le jeune homme, celui dont tu me disais qu’il était beaucoup trop jeune pour en tomber amoureuse, qu’il ne fallait simplement que prendre du bon temps.

Il est beau, des yeux malicieux d’un noir profond, une queue … Il a toujours quelque chose de drôle à dire, il est frais et j’aime ça, j’en ai besoin. La dernière fois que j’ai dit d’un homme “il est beau, il me fait rire”, c’était il y a seize ans et j’en ai pris pour dix ans. Hier je l’ai appelé, lui ai demandé de venir, je ne sais pas si c’est le fait qu’il soit plus jeune mais j’exige les choses plus clairement avec lui, mon côté autoritaire est là et il aime assez ça. J’ai deviné un côté soumis chez lui alors je me suis dit que cette fois ci, je vérifierai cela.
Il est entré chez moi, des baisers, des caresses, debout dans la pièce. Il est expert dans le flirt poussé. Il s’est allongé dans le lit, nous nous sommes embrassé. Il avait déboutonné sa braguette, j’ai glissé ma main dans son jean, sa queue était dure. J’ai baissé son pantalon, puis son caleçon, j’ai caressé sa queue, je l’ai serré entre mes doigts, une pression un peu forte, puis j’ai enfoncé, un peu, un bout de mon ongle dans son méat. J’ai posé à nouveau ma main sur ses couilles, il aimait ça, il gémissait, j’ai continué mon chemin, du moins un doigt a continué vers son trou, il gémit un peu plus et ses mouvements de hanche me disaient de continuer. Je l’embrassais, du bout de mon doigt je massais son cul et il gémissait. Je me suis baissée vers sa queue pour regarder mon doigt enfoncé dans son cul, j’ai approché ma bouche de sa queue, je l’ai avalée, un doigt toujours dans son cul, j’ai enfoncé le bout de ma langue dure aussi dure que le bout de sa queue. Il a attrapé un oreiller, l’a mis sur sa tête pour étouffer ses cris de plaisir.
Toi je t’ai vu pleurer après avoir joui, c’était la première fois que j’assistais à cela et lui attrapant cet oreiller pour s’empêcher de hurler alors que je le suçais et le doigtais, c’est une première aussi. J’aurais voulu photographier cela.
Cela a confirmé ce que je pensais, il aime se soumettre à mon désir, être mon objet. Et tout cela fait grandir mon affection.
Ce récit t’a plu? te fait bander ? Moi ça me fait mouiller de t’écrire cela, alors que je suis au bureau.

A bientôt A.